28 février 2010
Des yeux fondus de larmes les mains inconsolées
Des yeux fondus de larmes les mains inconsolées alors qu'il nous faudrait partir s'enfuir gueuler des balades éreintées crever les blanches et fraîches cloches du printemps s'étaler se parer se départir ne plus jamais y aller et rester impunis voire innocents...